Lunchr disrupte sa communication pour disrupter le marché des titres-resto

Cohérente avec son approche disruptive du marché du titre restaurant, qu’elle veut conquérir, la start-up Lunchr (prononcer Luncheure) lance une campagne de communication en rupture avec les conventions de la pub. Avec un double objectif, conquérir de nouveaux clients employeurs (Lunchr en compterait aujourd’hui plus de 3500) et de nouveaux utilisateurs (Lunch espère dépasser les 200 000 utilisateurs d’ici la fin de l’année, avant de s’étendre à l’Europe).

Provocatrice, impertinente, la campagne veut montrer qu’il est temps de changer d’époque, en tirant un trait sur les titres-resto en papier, pour passer à la carte Lunchr. Pour faire passer ce message, la création publicitaire accentue le caractère archaïque du titre-resto papier en jouant sur des situations absurdes et pourtant bien réelles.

Créée par l’agence Belle et orchestrée par Remind-PHD, la campagne présente en annonces presse trois visuels de trois clients importants et sérial entrepreneurs : Xavier Niel (Illiad, Free et Kima Ventures), Fleur Pellerin (ancienne ministre à la tête de Koreyla Capital) et Marc Simoncini (Daphni, ex fondateur de Meetic). Des déclinaisons, avec notamment les clients Mano Mano, Trainline, Drivy ou encore Meero, seront également visibles en digital.

La campagne de com a débuté le 3 septembre sur les réseaux sociaux et dans les médias Les Echos, le Parisien et Le Monde à destination des décideurs (les employeurs). Elle se poursuit le 9 septembre à destination du grand public dans le métro (500 passages prévus), les bus et sur les réseaux sociaux. Budget de la campagne : 1 million d’euros.

Réussira-t-elle là où ses prédécesseurs ont, pour l’instant, échoué ? Son fondateur Loïc Soubeyrand en est convaincu, Lunchr a désormais la capacité de « disrupter » le marché français du Titre Restaurant, toujours contrôlé par ses quatre acteurs historiques : Edenred en tête (Ticket Restaurant), Groupe Up (Chèque Déjeuner), Sodexo (Chèque Restaurant) et Natixis (Chèque de Table).

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Cohérente avec son approche disruptive du marché du titre restaurant, qu'elle veut conquérir, la start-up Lunchr (prononcer Luncheure) lance une campagne de communication en rupture avec les conventions de la pub. Avec un double objectif, conquérir de nouveaux clients employeurs (Lunchr en compterait aujourd'hui plus de 3500) et de nouveaux utilisateurs (Lunch espère dépasser les 200 000 utilisateurs d’ici la fin de l’année, avant de s'étendre à l'Europe).

Provocatrice, impertinente, la campagne veut montrer qu’il est temps de changer d’époque, en tirant un trait sur les titres-resto en papier, pour passer à la carte Lunchr. Pour faire passer ce message, la création publicitaire accentue le caractère archaïque du titre-resto papier en jouant sur des situations absurdes et pourtant bien réelles.

Créée par l’agence Belle et orchestrée par Remind-PHD, la campagne présente en annonces presse trois visuels de trois clients importants et sérial entrepreneurs : Xavier Niel (Illiad, Free et Kima Ventures), Fleur Pellerin (ancienne ministre à la tête de Koreyla Capital) et Marc Simoncini (Daphni, ex fondateur de Meetic). Des déclinaisons, avec notamment les clients Mano Mano, Trainline, Drivy ou encore Meero, seront également visibles en digital.

La campagne de com a débuté le 3 septembre sur les réseaux sociaux et dans les médias Les Echos, le Parisien et Le Monde à destination des décideurs (les employeurs). Elle se poursuit le 9 septembre à destination du grand public dans le métro (500 passages prévus), les bus et sur les réseaux sociaux. Budget de la campagne : 1 million d'euros.

Réussira-t-elle là où ses prédécesseurs ont, pour l'instant, échoué ? Son fondateur Loïc Soubeyrand en est convaincu, Lunchr a désormais la capacité de "disrupter" le marché français du Titre Restaurant, toujours contrôlé par ses quatre acteurs historiques : Edenred en tête (Ticket Restaurant), Groupe Up (Chèque Déjeuner), Sodexo (Chèque Restaurant) et Natixis (Chèque de Table). "
Entrepreneurs disrupteurs eux aussi, Marc Simoncini et Xavier Niel ont prêté leur concours. Le patron de free est d'ailleurs l'un des investisseurs qui ont participé à la dernière levée de fonds de Lunchfr, 30 millions d’euros. Levée intervenue sept mois seulement après la précédente de 11 millions d’euros.

Loïc Soubeyrand, fondateur de Lunchr

« Lunchr sert surtout un objectif qui dépasse la pause déjeuner : celui de remettre la culture d’entreprise au cœur des préoccupations. La culture d’entreprise, c’est le socle de la réussite. En entrant par la petite porte de la pause déj’, notre solution peut largement contribuer au bien-être au sein d’une organisation, quelle que soit sa taille. »

« Ce qu’on aime chez Lunchr, c’est lire entre les lignes des nouveaux usages pour proposer des services autour du déjeuner auxquels personne d’autre que nous n’aurait pu penser. »

Pierre Duquesnoy, co-fondateur et Directeur de création BELLE

« Quand vous proposez de l’audace créative à des clients qui n’ont pas froid aux yeux, ça va vite, on s’amuse et chez BELLE on aime ça .»
« Ici, la campagne montrera qu’il est temps de changer d’époque, en tirant un trait sur les titres-resto en papier, pour passer à la carte Lunchr. Pour faire passer ce message, la création publicitaire accentue le caractère archaïque du titre-resto papier en jouant sur des situations absurdes et pourtant bien réelles. »
 

 

Les avantages mis en avant par Lunchr
  • moins coûteux pour l’entreprise cliente (1 euro par recharge et par client)
  • moins coûteux pour les points de vente (commissions inférieures à celles des autres opérateurs)
  • simplicité pour les points de vente (réseau Mastercard, pas de mise à jour spécifique, etc)
  • simplicité pour les consommateurs, Mastercard Lunchr accepté dans les  180 000 commerces alimentaires du réseau Mastercard
  • réduction de 18 % en moyenne pour les consommateurs se regroupant pour acheter auprès de points de vente partenaires
Le logo et le site internet de la société

La stratégie pure digitale et l’approche « écran de fumée » de Loïc Soubeyrand


« Les mastodontes du secteur ont une offre dématérialisée, une carte bancaire de « deuxième génération » qui fonctionne comme un réseau privatif, et qui nécessite donc de nombreuses et fréquentes mises à jour chez les restaurateurs partenaires, souligne Loïc Soubeyrand, CEO de Lunchr. De notre côté, nous proposons un produit Mastercard compatible partout, qui ouvre la voie à une digitalisation pure du marché. »
« On a eu une stratégie « écran de fumée ». Cela faisait un an qu’on préparait notre produit, mais le fer de lance de la stratégie était la plateforme permettant de commander en équipe pour bénéficier de 30% de réduction. Sauf qu’on ne pouvait absolument pas dévoiler nos intentions avant d’être prêts techniquement, donc on s’est dit qu’on allait d’abord sortir la plateforme comme si on était B2C. Ça a mis quand même un an, mais ce qui m’a le plus surpris, c’est que pendant cette période rien n’a fuité dans nos équipes » (source Maddyness)

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