11″;s:11: »td_subtitle »;s:1714: »Unique dans un paysage culinaire saturé de labels et distinctions en tout genre, le titre de Maître Restaurateur demeure, huit ans après sa création, La référence officielle de la restauration à table, la seule reconnue et promue par l’Etat.
Plus de 3 250 professionnels (dirigeants ou employés) détiennent aujourd’hui ce titre attribué après un audit qui garantit aux consommateurs à la fois une cuisine faite maison à base de produits frais et locaux, du personnel qualifié en cuisine et en salle, et la qualité de l’accueil, du service et des installations.
Malgré tout, le nombre de ses titulaires est resté en deça de l’objectif, enterré désormais, de 7 500 titrés à fin 2015. En outre, près de 25 % d’entre eux n’ont pas renouvelé leur démarche à l’issue de leurs quatre premières années de certification.
Une érosion en lien sans doute avec la notoriété modeste du titre de Maître Restaurateur. Selon la dernière étude publiée (2011, BVA pour Atout France), 11 % seulement des Français fréquentant les restaurants avec service à table le connaissaient.
Le titre est-il à terme condamné à décliner ou à végéter ? Francis Attrazic, tout au contraire, est convaincu de son potentiel de développement. Et il oeuvre pour cela.
Cofondateur et président de l’Association Française des Maîtres Restaurateurs (AFMR) chargé de promouvoir le titre auprès des consommateurs et des professionnels, Francis Attrazic nous explique comment l’AFMR compte poursuivre l’expansion du titre, à la fois pour augmenter sa visibilité et donc ses remontées commerciales et accroître encore le nombre de ses titulaires.
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