Cet établissement 4 étoiles du centre-ville de la capitale girondine propose une expérience de simulation de vol de ligne dans un cockpit d'Airbus A 320 installé et animé dans une salle de réunion par AviaSim. Une expérience sans doute inédite en France dans le secteur hôtelier qui a le mérite de booster l'activité de restauration du Mercure Chartrons. En attendant le lancement d'un pack complet d'hospitalité.
« Ce projet est né du besoin de relancer l’activité loisirs et l’attractivité de l’hôtellerie en France, déclare Thomas Gasser, fondateur d’AviaSim. Suite à ma rencontre avec Benjamin Reverdy qui dirige le Mercure des Chartrons, nous avons tout de suite vu les synergies possibles entre nos deux activités. Une forme de résilience en soit. ».
Aviasim est spécialisée dans la simulation aéronautique de loisirs. L’entreprise opère ses simulations de vol dans ses propres centres en France (une douzaine à ce jour). Ou bien au sein des entreprises.
Ainsi, le Mercure Chartrons héberge dans l’une de ses salles de réunion la réplique fidèle d’un cockpit d’Airbus A 320. Celui-ci dispose de ses deux habituels fauteuils de pilotage. L’un réservé au « stagiaire ». L’autre occupé par un instructeur pilote professionnel. Placée juste derrière eux, une rangée de trois fauteuils est réservée aux accompagnateurs.
Pack à partir de 99 euros TTC
Le pack de base, à 99 euros TTC, offre une simulation de vol de 35 minutes entre deux aéroports au choix du client, précédée de 10 minutes de briefing. Aviasim propose également d’autres formules plus longues et plus onéreuses.
Les simulations de vol au Mercure Chartrons ont débuté le 21 mai 2021. Les deux partenaires jugent les dix premiers jours « concluants ». Le simulateur a affiché complet les deux samedis. Et l’hôtel se réjouit d’une hausse de fréquentation de son bar et de sa restauration en terrasse.
A partir de juillet, le Mercure Chartrons proposera des packs hôtel + simulateur. Ils comprendront 1 nuit d’hôtel, 1 repas pour 2 et une séance de simulateur, le tout à partir de 299€.
