Quelques exemples de doggy-bags TakeAway® personnalisés
Le site et le logo du groupe
Et les tarifs ?
La version de base, non personnalisée, est proposée à 44 centimes hors taxes l’unité pour une commande minimale de 200 boites (ce qui fait donc 88 EUR HT), avec une dégressivité selon les volumes (42 centimes à partir de 500 boites, 41 à partir de 1000, etc).
Quant aux versions personnalisées, il faut compter à partir de 83 centimes hors taxes pour une commande minimale de 1000 boites (ce qui fait donc 830 EUR HT), avec dans ce cas aussi une dégressivité selon les volumes.
A noter aussi que TakeAway a développé une ligne de sac pour emporter des bouteilles de vins. Les bags TakeAway sont proposés à partir de 52 centimes hors taxes l’unité pour la version non personnalisée et de 95 centimes pour les versions personnalisées (commande minimale de 1000 sacs dans les deux cas).
Le gourmet bag, c’est bien, mais il faut aussi…
Ne nous mentons pas ! La gourmet bag ne suffira pas ! Pour une démarche anti-gaspi pro-active, il faudra aussi cent fois sur le métier reprendre son ouvrage. En produisant moins de déchets en phase de production des plats. En raccourcissant sa carte. En privilégiant les produits frais, de saison et de proximité. En veillant à adapter les portions et les tailles d’assiettes aux profils des consommateurs, etc.
Rappelons par ailleurs que depuis le 1er janvier 2016, le recyclage des bio-déchets est devenu obligatoire à partir de 10 tonnes de déchets produit par an. Ce seuil de 10 tonnes correspondrait grosso modo à des restaurants de taille moyenne (par exemple 280 repas/jour sur 250 jours/an pour la restauration commerciale à table). Ces derniers doivent donc trier et conserver leur bio-déchets (épluchures, marc de café, os, arêtes, restes des assiettes, etc….) et les faire récupérer. Ce qui n’est pas une mince affaire aujourd’hui, les prestataires et les circuits opérationnels n’étant pas légion !
Ce seuil des 10 tonnes est d’ailleurs appelé à disparaître d’ici dix ans. En effet, avec la loi du 17 août 2015 sur la transition énergétique pour la croissance verte, l’obligation de traiter les bio-déchets sera généralisée à l’ensemble des établissements et des ménages d’ici 2025. Encore faudra-t-il que les usines de méthanisation et de compostage soient en mesure d’absorber les volumes ! D’où l’idée que les plus gros restaurants valorisent eux-mêmes, sur place, leurs bio-déchets. Pour produire, par exemple, de l’eau chaude sanitaire.