Starbucks attaque l'Italie avec sa "Milan Reserve Roastery" de 2 400 m2

Concept de boutique de cafés de torréfaction haut de gamme, le « Milan Reserve Roastery », ouvrira au second semestre 2018 au coeur de la capitale lombarde, sur une surface de 2 400 m2 aménagée dans un ancien palais de la Poste, dont le style extérieur devrait être préservé.

« Starbucks ne vient pas en Italie pour apprendre aux Italiens à faire du café, jure ses grands dieux son patron Howard Schultz, lors de la présentation du projet à Milan. Nous arriverons ici avec un grand respect et une grande humilité en montrant ce que nous faisons ».

Monsieur Schultz n’était pas avare d’anecdotes : « (En 1983), je me promenais dans les rues de Milan et je suis tombé amoureux des bars et des cafés italiens. A cette époque, Starbucks vendait seulement du café pour la maison ». « J’ai vu le sens de la communauté et de l’humanité dans les bars italiens et je voulais le partager ».

La chaîne américaine avait annoncé début 2016 qu’elle s’implanterait début 2017, mais l’ouverture a a été repoussée, avec un magasin et concept plus important que les 200 m2 initialement prévus.

Le groupe a précisé qu’après la Roastery, son partenaire italien le promoteur immobilier Percassi ouvrirait un petit nombre de boutiques Starbucks en 2018 à Milan.

Selon des chiffres de la fédération Fipe, les bars italiens servent 6 milliards d’expresso par an, ce qui représente un chiffre d’affaires de 6,6 milliards d’euros. Et 41 % des adultes italiens prennent un expresso au café une fois par semaine au minimum selon l’Observatoire OIFB

Starbucks compte aujourd’hui 25 000 boutiques dans 75 pays. Son chiffre d’affaires 2015 (clos fin septembre), dernier annuel publié, s’est élevé à 18,188 milliards d’euros (vs 15,611 Md EUR en 2014), avec un résultat net record de 2,616 milliards d’euros (vs 1,962 Md EUR en 2014).

Fin janvier, Howard Schultz avait annoncé que son groupe prévoyait d’embaucher 10 000 réfugiés sur cinq ans dans 75 pays. Une annonce qui intervenait deux jours après l’adoption par le président Donald Trump d’un décret interdisant l’entrée aux Etats-Unis aux réfugiés de sept pays, dont la Syrie, l’Irak et l’Iran.

(avec Le Figaro,Investir et Corriere della Sera) »

Concept de boutique de cafés de torréfaction haut de gamme, le « Milan Reserve Roastery », ouvrira au second semestre 2018 au coeur de la capitale lombarde, sur une surface de 2 400 m2 aménagée dans un ancien palais de la Poste, dont le style extérieur devrait être préservé.

"Starbucks ne vient pas en Italie pour apprendre aux Italiens à faire du café, jure ses grands dieux son patron Howard Schultz, lors de la présentation du projet à Milan. Nous arriverons ici avec un grand respect et une grande humilité en montrant ce que nous faisons".

Monsieur Schultz n'était pas avare d'anecdotes : "(En 1983), je me promenais dans les rues de Milan et je suis tombé amoureux des bars et des cafés italiens. A cette époque, Starbucks vendait seulement du café pour la maison". "J'ai vu le sens de la communauté et de l'humanité dans les bars italiens et je voulais le partager".

La chaîne américaine avait annoncé début 2016 qu'elle s'implanterait début 2017, mais l'ouverture a a été repoussée, avec un magasin et concept plus important que les 200 m2 initialement prévus.

Le groupe a précisé qu'après la Roastery, son partenaire italien le promoteur immobilier Percassi ouvrirait un petit nombre de boutiques Starbucks en 2018 à Milan.

Selon des chiffres de la fédération Fipe, les bars italiens servent 6 milliards d'expresso par an, ce qui représente un chiffre d'affaires de 6,6 milliards d'euros. Et 41 % des adultes italiens prennent un expresso au café une fois par semaine au minimum selon l’Observatoire OIFB

Starbucks compte aujourd'hui 25 000 boutiques dans 75 pays. Son chiffre d'affaires 2015 (clos fin septembre), dernier annuel publié, s'est élevé à 18,188 milliards d'euros (vs 15,611 Md EUR en 2014), avec un résultat net record de 2,616 milliards d'euros (vs 1,962 Md EUR en 2014).

Fin janvier, Howard Schultz avait annoncé que son groupe prévoyait d'embaucher 10 000 réfugiés sur cinq ans dans 75 pays. Une annonce qui intervenait deux jours après l'adoption par le président Donald Trump d'un décret interdisant l'entrée aux Etats-Unis aux réfugiés de sept pays, dont la Syrie, l'Irak et l'Iran. (avec Le Figaro,Investir et Corriere della Sera)"

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