Des activités en réalité professionnelles et pourtant non déclarées, de pseudo profils de particuliers qui cachent des sociétés d’investissement, des déséquilibres écrasants entre les coûts, les taxes et les règlements, marginaux pour les loueurs, mais très lourds pour les hôteliers.
Les résultats de l’enquête que vient de rendre public l’Umih (Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière), première organisation professionnelle de la branche, jette un regard nouveau sur le juteux marché de la location courte durée entre particuliers. Elle donne des arguments à la Confédération pour convaincre le législateur d’établir rapidement de nouvelles règles de marché qui rétablissent une concurrence loyale mais inévitable.
Résume des faits et griefs exposés par l’Umih lors de sa conférence de presse. Et le point de vue HR-infos »