Le gros porteur Wagamama initie Paris Saint-Lazare à sa cuisine pan-asiatique

17 ans après sa fondation à Londres par Alan Yau dans le quartier chic de Bloomsbury, la chaîne britannique de ramen, curry, teppanyaki, omakase et autre donburi ouvre enfin en France. Non pas à Lyon, sur le site du centre commercial Grand Hôtel-Dieu, comme cela avait été annoncé en 2017. Mais à Paris, depuis fin janvier, dans le quartier de la gare Saint-Lazare, au rez de chaussée d’un immeuble neuf appartenant à la SNCF.

Exploité en franchise par le groupe FDC Croissance, qui jouit d’un contrat d’exclusivité pour la France (hors gares et aérogares), le restaurant dispose d’un espace de 300 m2 et de 130 places assises, et bientôt 50 places supplémentaires en terrasse sur la place de Budapest. Une équipe de 18 personnes s’affairent en cuisine et en salle, celles en salle étant néophytes, choix de la direction, celles en cuisine ayant été formées par leurs collègues anglais. Le restaurant est ouvert 7 jours sur 7 en continu de 11h30 à 23h.

A la mi mars, le restaurant dépassait légèrement les 200 repas/jour le midi et les 150 le soir. Le ticket moyen avoisine les 20 euros (légèrement en dessous le midi, légèrement au dessus le soir). En choisissant par exemple, un chicken ramen et un jus de carotte-gingembre (30 cl), le client débourse 15,35 euros.

Wagamama propose une gamme de plats pan-asiatiques préparés à la minute. La carte place côte à côte des recettes de curry de viandes ou de crevettes, de ramens (bouillon de nouilles contenant viandes, poissons et légumes), de teppanyakis (nouilles saisies avec des légumes croquants sur une plaque de cuisson), de donburis (riz japonais) et on en oublie. Les plats sont préparés à la demande du client, la personnalisation des plats est donc possible.

Parmi les signatures de la maison, des calamars au chili, parsemés de shichimi un mélange de sept épices, du poulet katsu dans une sauce parfumée au curry sur lit de riz gluant. Et bien entendu, les wagamama ramen (porc, poulet, crevettes, moules, demi-oeuf marbré au thé, pousses de pois…), locomotive mondiale de l’enseigne.
Pour les boissons, on compte un florilège de jus frais de légumes ou de fruits, pressés à la demande comme le « super green » à la pomme, céleri, menthe, et citron vert ou le « raw juice » à la carotte, concombre, tomate, orange et pomme. Quelques bières asiatiques, une dizaine de thés et infusions.
Wagamama compte environ 190 restaurants dans le monde, dont 130 en propre au Royaume-Uni. Dans les 24 autres pays d’implantation, les unités sont franchisées.

Les nouilles nippo-britanniques rapportent gros ! Wagamama a été revendu en décembre 2018 par ses propriétaires, les fonds Duke Street et Hutton Collins. L’acquéreur, la chaîne britannique Restaurant Group (500 restaurants et pubs au Royaume-Uni, dont les chaînes Frankie and Benny’s et Chiquito) a déboursé 559 millions de livres (630 millions d’euros), dettes incluses. Duke Street et Hutton Collins avaient acheté Wagamama en 2011 pour 215 millions de livres à Lion Capital. Duke Street a récupéré 3,4 fois la somme initiale investie.

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17 ans après sa fondation à Londres par Alan Yau dans le quartier chic de Bloomsbury, la chaîne britannique de ramen, curry, teppanyaki, omakase et autre donburi ouvre enfin en France. Non pas à Lyon, sur le site du centre commercial Grand Hôtel-Dieu, comme cela avait été annoncé en 2017. Mais à Paris, depuis fin janvier, dans le quartier de la gare Saint-Lazare, au rez de chaussée d'un immeuble neuf appartenant à la SNCF.

Exploité en franchise par le groupe FDC Croissance, qui jouit d'un contrat d'exclusivité pour la France (hors gares et aérogares), le restaurant dispose d'un espace de 300 m2 et de 130 places assises, et bientôt 50 places supplémentaires en terrasse sur la place de Budapest. Une équipe de 18 personnes s'affairent en cuisine et en salle, celles en salle étant néophytes, choix de la direction, celles en cuisine ayant été formées par leurs collègues anglais. Le restaurant est ouvert 7 jours sur 7 en continu de 11h30 à 23h.

A la mi mars, le restaurant dépassait légèrement les 200 repas/jour le midi et les 150 le soir. Le ticket moyen avoisine les 20 euros (légèrement en dessous le midi, légèrement au dessus le soir). En choisissant par exemple, un chicken ramen et un jus de carotte-gingembre (30 cl), le client débourse 15,35 euros.

Wagamama propose une gamme de plats pan-asiatiques préparés à la minute. La carte place côte à côte des recettes de curry de viandes ou de crevettes, de ramens (bouillon de nouilles contenant viandes, poissons et légumes), de teppanyakis (nouilles saisies avec des légumes croquants sur une plaque de cuisson), de donburis (riz japonais) et on en oublie. Les plats sont préparés à la demande du client, la personnalisation des plats est donc possible.

Parmi les signatures de la maison, des calamars au chili, parsemés de shichimi un mélange de sept épices, du poulet katsu dans une sauce parfumée au curry sur lit de riz gluant. Et bien entendu, les wagamama ramen (porc, poulet, crevettes, moules, demi-oeuf marbré au thé, pousses de pois...), locomotive mondiale de l'enseigne. <br
Pour les boissons, on compte un florilège de jus frais de légumes ou de fruits, pressés à la demande comme le « super green » à la pomme, céleri, menthe, et citron vert ou le « raw juice » à la carotte, concombre, tomate, orange et pomme. Quelques bières asiatiques, une dizaine de thés et infusions. <br
Wagamama compte environ 190 restaurants dans le monde, dont 130 en propre au Royaume-Uni. Dans les 24 autres pays d'implantation, les unités sont franchisées.

Les nouilles nippo-britanniques rapportent gros ! Wagamama a été revendu en décembre 2018 par ses propriétaires, les fonds Duke Street et Hutton Collins. L'acquéreur, la chaîne britannique Restaurant Group (500 restaurants et pubs au Royaume-Uni, dont les chaînes Frankie and Benny’s et Chiquito) a déboursé 559 millions de livres (630 millions d'euros), dettes incluses. Duke Street et Hutton Collins avaient acheté Wagamama en 2011 pour 215 millions de livres à Lion Capital. Duke Street a récupéré 3,4 fois la somme initiale investie. "
Ces deux clients ont choisi deux plats signatures de l'enseigne. A gauche, un Chili beef ramen, composé de nouilles dans un bouillon de poule épicé, garni d’oignons rouges, ciboule, pousses de soja, piments, coriandre et citron vert. A droite, un Shirodashi ramen, comprenant poitrine de porc mijotée et assaisonnée, sur un lit de nouilles et dans un savoureux bouillon de poule avec dashi et miso, garni de pousses de pois, menma, ciboule, wakame et un demi oeuf marbré au thé. Photo : From Paris Agency.

L’immeuble appartenant à la SNCF dans lequel Wagamama Paris occupe le rez de chaussée, 10 place de Budapest, Paris 9ème

Des tables d’hôtes pour gagner en convivialité et productivité au m2

Wagamama Paris vise le contrat repas pris en 20 minutes

Les plats phares de l’enseigne

wagamama ramen (en photo) : poulet grillé, tranches de porc assaisonnées, crevettes et moules, chikuwa
de poisson sur un lit de nouilles dans un riche bouillon de poule, dashi, miso, et gingembre. garnie ce
ciboule, cosses de pois de mange-tout, algues wakamé, menma (pousses de bambou) et un demi-oeuf
marbré au thé.
tori kara age : morceaux de poulet croustillants et assaisonnés, accompagnés d’une sauce piquante de
sésame et de soja, servis avec un citron vert
teriyaki soba : poulet ou faux-filet de boeuf, sur un lit de nouilles soba, sautées dans une huile au curry
avec des cosses de pois mange-tout, bok choi, oignons rouges, piments et germes de soja, dans une sauce
teriyaki, le tout garni de graines de sésame
gyozas | cinq raviolis asiatiques savoureux, remplis de bonheur ! servis grillés ou à la vapeur et
accompagnés d’une sauce

La carte des plats…

Wagamama menu principal_2019

 

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