Achats-Restauration passe au Kärcher vos factures non alimentaires

La promesse est de taille, reste à la tenir ! L’équipe de cost-killers d’Achats-Restauration se fait fort de réduire les factures des restaurateurs et restaurateurs-hôteliers de 20 à 25 % en moyenne. Là où, par exemple, un restaurant de taille moyenne à Paris, paierait 3 000 euros (HT) un contrat annuel d’assurances, Achats-Restauration parviendrait à une baisse de 25%, soit 750 euros par an via son partenaire. Si le même veut souscrire un pack Internet mobile, la baisse atteindrait 35 % en négociant avec un nouvel opérateur, soit une baisse annuelle de 1 080 euros.

Si la structure, lancée fin 2016, est très jeune, son management affiche en revanche une bonne dizaine d’années d’expérience puisqu’il gère en parallèle depuis 2006 Le Club Achat, le pendant d’Achats-Restauration pour les entreprises d’autres secteurs d’activité.

Le champ d’intervention de ces négociateurs est très large. Produits d’entretien et d’hygiène, petits équipements de cuisine et de vaisselle, location de linge, prestations de blanchisserie, contrôles sanitaires, fournitures administratives, abonnement télécom, contrat d’assurances, mutuelle d’entreprise, fourniture d’énergies…

Achats-Restauration affiche d’emblée le nom des fournisseurs avec qui il travaille. En principe un et un seul par famille de produits. De manière à leur assurer des volumes qui justifieront de leur part de grosses ristournes, plus consistantes semble-t-il que les habituelles commissions d’apport d’affaires. Mais il est vrai toutefois que l’entreprise accompagne le client jusqu’à la finalisation de sa première commande.

Les restaurateurs connaîtront d’emblée leur pedigree. Staples pour les fournitures de bureau, Mérieux pour la sécurité alimentaire, Bouygues pour la téléphonie, Bos pour les équipements de cuisine, Axa et Humanis, qu’on ne présente pas… Autant dire de grandes maisons théoriquement en mesure de tenir leurs engagements dans la durée.

Contrairement au fonctionnement des centrales d’achat, le recours au service d’Achats-Restauration n’entraîne aucun droit d’entrée ou de sortie pour les restaurateurs. Le groupe se rémunère exclusivement auprès des fournisseurs qui s’engagent en retour à ne plus traiter en direct avec les clients apportés par Achats-Restauration.

Importance des rabais obtenus auprès des fournisseurs, diligence à conclure les contrats avec eux, transparence sur les tarifs… Sur le papier, les avantages à passer par Achats-Restauration semblent suffisamment consistants pour au moins les tester.

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La promesse est de taille, reste à la tenir ! L'équipe de cost-killers d'Achats-Restauration se fait fort de réduire les factures des restaurateurs et restaurateurs-hôteliers de 20 à 25 % en moyenne. Là où, par exemple, un restaurant de taille moyenne à Paris, paierait 3 000 euros (HT) un contrat annuel d'assurances, Achats-Restauration parviendrait à une baisse de 25%, soit 750 euros par an via son partenaire. Si le même veut souscrire un pack Internet mobile, la baisse atteindrait 35 % en négociant avec un nouvel opérateur, soit une baisse annuelle de 1 080 euros.

Si la structure, lancée fin 2016, est très jeune, son management affiche en revanche une bonne dizaine d'années d'expérience puisqu'il gère en parallèle depuis 2006 Le Club Achat, le pendant d'Achats-Restauration pour les entreprises d'autres secteurs d'activité.

Le champ d'intervention de ces négociateurs est très large. Produits d'entretien et d'hygiène, petits équipements de cuisine et de vaisselle, location de linge, prestations de blanchisserie, contrôles sanitaires, fournitures administratives, abonnement télécom, contrat d'assurances, mutuelle d'entreprise, fourniture d'énergies...

Achats-Restauration affiche d'emblée le nom des fournisseurs avec qui il travaille. En principe un et un seul par famille de produits. De manière à leur assurer des volumes qui justifieront de leur part de grosses ristournes, plus consistantes semble-t-il que les habituelles commissions d'apport d'affaires. Mais il est vrai toutefois que l'entreprise accompagne le client jusqu'à la finalisation de sa première commande.

Les restaurateurs connaîtront d'emblée leur pedigree. Staples pour les fournitures de bureau, Mérieux pour la sécurité alimentaire, Bouygues pour la téléphonie, Bos pour les équipements de cuisine, Axa et Humanis, qu'on ne présente pas... Autant dire de grandes maisons théoriquement en mesure de tenir leurs engagements dans la durée.

Contrairement au fonctionnement des centrales d'achat, le recours au service d'Achats-Restauration n'entraîne aucun droit d'entrée ou de sortie pour les restaurateurs. Le groupe se rémunère exclusivement auprès des fournisseurs qui s'engagent en retour à ne plus traiter en direct avec les clients apportés par Achats-Restauration.

Importance des rabais obtenus auprès des fournisseurs, diligence à conclure les contrats avec eux, transparence sur les tarifs... Sur le papier, les avantages à passer par Achats-Restauration semblent suffisamment consistants pour au moins les tester. "
Le logo et le site internet de la société


De gauche à droite, Ivan Braticevic, associé fondateur d’Achats-Restauration, Bernard D’Hau Decuypere, PDG et Adrien D’Hau Decuypere, directeur commercial. A leur côté également, deux consultants, Romain Dremaux et Arthur Lafond.

Questions à Adrien d’Hau Decuypere

Vous mettez en avant les économies réalisées, mais par rapport à quoi ? Un professionnel qui prend la peine de négocier peut également obtenir de meilleures conditions…
« Notre méthode est simple. Sur la base d’éléments comptables (type facture), nous revenons vers nos clients avec une proposition qui doit générer au moins 15% d’économies, condition nécessaire pour justifier un changement de fournisseur.
ll peut arriver que nous n’y arrivions pas. Si tel est le cas, nous sommes transparents avec nos clients. Cela lui permet dans ce cas de se conforter dans l’idée que le prix qu’il a négocié est le bon. Mais pour être honnête, c’est en général souvent l’inverse qui se produit et on arrive assez régulièrement à générer des économies de l’ordre de 30%. »

Sur quels services vos clients peuvent-ils espérer le plus d’économie ?
« Les économies vont en général de 15 à 35%. Le seul petit bémol concerne l’électricité où effectivement, la marge de manœuvre de nos partenaires étant étroite, nous parvenons à des économies plus autour de 5 à 10% (rappelons qu’en général les montants des dépenses en électricité sont très importants). Dans tous les cas, en dehors de celui de l’électricité, nous considérons qu’un client fera l’effort de changer de fournisseur si nous présentons des économies d’au moins 15%. En dessous de 10%, nous sommes très honnêtes avec nos clients et leur déconseillons le changement. »
A défaut de vouloir citer quelques uns de vos premiers clients, quels sont en tout cas leur profil actuel?
« Les clients d’Achats-restauration peuvent représenter tous les acteurs de la restauration commerciale en France, que ce soit le petit restaurant indépendant, la grosse brasserie de centre-ville, mais aussi et surtout les chaînes de restauration.
Souvent, les gros acteurs pensent qu’ayant un département d’achat (ou un acheteur spécialisé), ils ont rationalisé et bien négocié l’ensemble de ces coûts. Et bien sachez qu’on se rend compte souvent que les petits indépendants sont souvent meilleurs que les grosses chaînes pour négocier parfaitement ce type d’achats. Dans tous les cas, on apportera toujours à chacun (et gratuitement) une réponse. Alors, qu’ils nous contactent… ! »

Pour revenir sur le périmètre, quand démarre votre prestation et quand se termine-t-elle ?
« Le client choisit sur quelles familles d’achat il souhaite que nous intervenions. Entre la réception des factures, leur traitement, les cotations et les discussions de notre côté avec nos fournisseurs, il peut se passer 1 ou 2 mois. Mais en fait, la variable la plus importante est la rapidité avec laquelle nos clients nous envoient leurs informations.
En fait notre intervention ne se termine pas vraiment. Nous avons un rôle d’interface entre les fournisseurs et nos clients, tant que le client commande chez notre fournisseur. Nous pouvons renégocier certains prix et régler certains litiges car nous conservons cette force de négociation avec nos fournisseurs.
Notre objectif (et notre intérêt) reste que le client continue à commander chez nos fournisseurs (pour rappel il n’y a aucun engagement d’achats) et donc de veiller à ce qu’ils soient biens chez eux. »

Comment vous rémunérez-vous ?
« Nous sommes transparents sur notre business model que nous expliquons à nos clients. Pour prendre un exemple concret, sur un produit qui vaut 100, nous demandons un double effort à nos fournisseurs. D’abord une économie idéale de 25-30% pour nos clients, plus une commission de 4% sur l’ensemble du volume d’affaires généré par notre intervention. C’est donc un effort important qui a du demander de longs mois de sélections et de négociations avec nos fournisseurs. Et en échange, nous leur promettons du volume. »

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