Tshoko et sa box créent des ambiances musicales connectées aux clients

Finies les musiques de fond figées et imposées dans les bars, les restaurants, les espaces événementiels… Avec Tshoko, elles entrent à leur tour dans l’ère du connecté et du participatif.

Cette start-up lyonnaise a fait le pari de simplifier et dynamiser la gestion des programmes et, surtout, de laisser la main aux clients. La solution Tshoko leur permet en effet de choisir les titres diffusés. Elle est également capable de collecter auprès d’eux des données pour initier des actions de communication sur leur messagerie électronique et leur compte facebook.

Tsoko, c’est quoi, matériellement ? Une box branchée au système audio de l’établissement et pilotable à distance via internet et le réseau wifi de l’établissement. Cette box est connectée à la fois avec le support technique, avec l’établissement utilisateur et avec les consommateurs, l’interface utilisateur s’affichant aussi bien sur un téléphone portable, une tablette tactile ou un ordinateur.

L’idée des trois instigateurs de Tsoko (trois jeunes ingénieurs et diplômés de l’EM Lyon), c’est d’abord de faire gagner du temps à l’exploitant, en lui fournissant des millions de titres. Des titres organisées en play-lists classées par genre et ambiance et planifiables sur des plages hebdomadaires de programmation.

Tshoko lui donne aussi la possibilité de proposer un juke box en ligne à sa clientèle. Les clients choisissent ainsi les musiques diffusées et votent pour leurs morceaux préférés. Enfin, dernière facette, le volet Data, le système permet de collecter des données auprès des clients (jours et heures de présence dans l’établissement, préférences musicales, âge, genre,…) et de donc lui envoyer des informations liées à la vie de l’établissement.

L’entreprise se fait fort de gérer les besoins des réseaux et d’unifier leur signature sonore au sein de leurs franchisés et de leurs succursales.

Après 6 mois de développement, avec le soutien financier de la French Tech, de BpiFrance et du réseau Entreprendre Rhône (dont il est lauréat), Tshoko se lançait début 2017 dans la commercialisation de sa box.

Parmi ses tout premiers clients, des affaires aussi différences que le restaurant d’altitude Café Soleil à Serre Chevalier, l’agence événementielle suisse Une Bonne idée, le bar-restaurant avant-gardiste Live Station DIY ou l’espace Maison Lassagne, tous les deux situés à Lyon. La start-up compte sur des partenariats comme celui avec le distributeur Transgourmet pour accélérer le tempo.

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Finies les musiques de fond figées et imposées dans les bars, les restaurants, les espaces événementiels... Avec Tshoko, elles entrent à leur tour dans l'ère du connecté et du participatif.

Cette start-up lyonnaise a fait le pari de simplifier et dynamiser la gestion des programmes et, surtout, de laisser la main aux clients. La solution Tshoko leur permet en effet de choisir les titres diffusés. Elle est également capable de collecter auprès d'eux des données pour initier des actions de communication sur leur messagerie électronique et leur compte facebook.

Tsoko, c'est quoi, matériellement ? Une box branchée au système audio de l'établissement et pilotable à distance via internet et le réseau wifi de l'établissement. Cette box est connectée à la fois avec le support technique, avec l'établissement utilisateur et avec les consommateurs, l'interface utilisateur s'affichant aussi bien sur un téléphone portable, une tablette tactile ou un ordinateur.

L'idée des trois instigateurs de Tsoko (trois jeunes ingénieurs et diplômés de l'EM Lyon), c'est d'abord de faire gagner du temps à l'exploitant, en lui fournissant des millions de titres. Des titres organisées en play-lists classées par genre et ambiance et planifiables sur des plages hebdomadaires de programmation.

Tshoko lui donne aussi la possibilité de proposer un juke box en ligne à sa clientèle. Les clients choisissent ainsi les musiques diffusées et votent pour leurs morceaux préférés. Enfin, dernière facette, le volet Data, le système permet de collecter des données auprès des clients (jours et heures de présence dans l'établissement, préférences musicales, âge, genre,...) et de donc lui envoyer des informations liées à la vie de l'établissement.

L'entreprise se fait fort de gérer les besoins des réseaux et d'unifier leur signature sonore au sein de leurs franchisés et de leurs succursales.

Après 6 mois de développement, avec le soutien financier de la French Tech, de BpiFrance et du réseau Entreprendre Rhône (dont il est lauréat), Tshoko se lançait début 2017 dans la commercialisation de sa box.

Parmi ses tout premiers clients, des affaires aussi différences que le restaurant d'altitude Café Soleil à Serre Chevalier, l'agence événementielle suisse Une Bonne idée, le bar-restaurant avant-gardiste Live Station DIY ou l'espace Maison Lassagne, tous les deux situés à Lyon. La start-up compte sur des partenariats comme celui avec le distributeur Transgourmet pour accélérer le tempo. "
La box avec sa prise jack
Music Box + Juke Box + Data Box :
Trois solutions d’abonnement à Tshoko en fonction de ses configurations
  • A partir de 34,99 € HT/mois (*) : toutes les fonctions de gestion de la musique à partir d’une box pilotable à distance qui traite et actualise des millions de titres et les regroupe en play-lists que l’on peut créer à volonté sur un interface de programmation musicale
  • A partir de 49,99 € HT/mois (*) : en plus des fonctions de bibliothèque musicale, cet abonnement permet de communiquer vers les clients en affichant les titres sur écran et leur donne la possibilité de choisir les titres depuis leur téléphone portable
  • A partir de 34,99 € HT/mois (*) : en plus de ces fonctions Music Box et Juke Box, l’abonnement inclut la gestion des données recueillis auprès des clients pour mieux communiquer ensuite vers eux

(*) Ces prix correspondent à des engagements sur 24 mois,  auxquels faut ajouter le coût d’achat de la Box (99 EUR)

Pour comprendre les différentes utilisations de Tshoko


Les trois fondateurs et dirigeants de Tshoko : Hugo Frering, Maxime Meregnani et Raphäel Jarsaillon

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