Un vade-mecum pour adopter des pratiques et des relations respectueuses au travail

Dans ce nouvel opus de ses guides pratiques, intitulé « S’engager pour des pratiques & Relations respectueuses au travail », l’UMIH,, première organisation patronale de la branche, fournit tous les outils utiles en 16 pages documentées, en particulier des fiches pratiques, les « comment faire», illustrées de comportements et situations à risque observés sur le terrain, ainsi que des contacts-adresses ressources, pour accompagner les entreprises dans l’adoption de pratiques managériales « exigeantes et respectueuses». En téléchargement gratuit sur le site officiel de l’UMIH.

Dans ce nouvel opus de ses guides pratiques, intitulé « S'engager pour des pratiques & Relations respectueuses au travail », l'UMIH,, première organisation patronale de la branche, fournit tous les outils utiles en 16 pages documentées, en particulier des fiches pratiques, les « comment faire», illustrées de comportements et situations à risque observés sur le terrain, ainsi que des contacts-adresses ressources, pour accompagner les entreprises dans l'adoption de pratiques managériales « exigeantes et respectueuses». En téléchargement gratuit sur le site officiel de l’UMIH.

Un extrait du guide de l'Umih. Avec la présentation du contenu de ses quatre grande parties.

Vraiment bien fait et salutaire, ce guide. Bien fait, parce qu’il contient toutes les infos clefs pour bien faire. Ne serait-ce déjà qu’en décrivant, exemples à l’appui, ce qu’est un comportement inadapté et irrespectueux. Et il en existe une floppée. Dont chacun, manager comme employé, n’ont pas toujours conscience.

Ce qu’ils ignorent ou feignent d’ignorer, c’est que ces comportements, le guide en décrit bien les effets, « abîment la dignité des personnes », engendrent une « culture toxique  » et finalement « nuisent à l’entreprise ». En générant, au passage, des coûts humains (« l’usure silencieuse » et à terme la démission), économiques («l’effet domino » avec à l’appui une désorganisation du service, de l’absentéisme, voire des recours en justice) et immatérielles (la notoriété et l’image de marque en prennent un coup tôt ou tard).

Salutaire, car en prenant le temps de bien lire ce vade-mecum, au demeurant clair concis et de s’interroger dans la foulée sur leurs propres points faibles comportementaux, le manager comme le salarié peuvent corriger le tir. Et pour cela, ils ne manqueront pas de conseils et de repères ressources.

Suggérer de co-signer, patron et salarié, une déclaration « d’Engagements partagés »

Ce guide n’est pas une première, rappelle Thierry Marx, le président confédéral . « Il s’inscrit « dans la continuité du manifeste « Ne touche pas à mon commis » impulsé par Gérard Cagna dès 2014, re-signé par l’UMIH en 2019, nos actions de sensibilisation se poursuivent, et le changement dans nos cuisines est en marche.»

« Parce que le goût du travail bien fait doit se transmettre en valorisant nos salariés et la qualité des relations humaines, poursuit Marx, il est de notre responsabilité de montrer l’exemple et d’accompagner la nouvelle génération. »

Manière de sensibiliser le patron comme l’employé en amont ou au moment de l’embauche, de poser un cadre clair en rappelant des principes fondamentaux, l’Umih propose aux employeurs, de faire signer à chacun de leurs salariés un texte « Engagements partagés », annexé par exemple à leur contrat de travail ou au livret d’accueil.  Texte qui n’a pas de caractère disciplinaire, assure l’organisation patronale.

Bien entendu, ce n’est pas seulement le salarié qui  valide et signe ces « Engagements partagés ». C’est également l’employeur !

Le guide est disponible en téléchargement gratuit sur le site officiel de l’UMIH : “S’engager pour des pratiques & relations respectueuses au travail”. Il vient compléter la collection Umih des « Guide des bonnes pratiques ».

 Thierry Marx, président confédéral de l’UMIH

« Dans la continuité du manifeste « Ne touche pas à mon commis » impulsé par Gérard Cagna dès 2014, re-signé par l’UMIH en 2019, nos actions de sensibilisation se poursuivent, et le changement dans nos cuisines est en marche.

Parce que le goût du travail bien fait doit se transmettre en valorisant nos salariés et la qualité des relations humaines, il est de notre responsabilité de montrer l’exemple et d’accompagner la nouvelle génération. »

 

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Un extrait du guide de l'Umih. Avec la présentation du contenu de ses quatre grande parties.