Tous les types d’hébergement repartent à la hausse
* Nuitées : Correspondent au nombre total de nuits passées par les clients dans un établissement touristique. Un couple séjournant trois nuits dans un établissement compte pour six nuitées, de même que six personnes ne séjournant qu’une nuit.
** Période d’avril à septembre.
Sources : Insee en partenariat avec la DGE et les comités régionaux et départementaux du tourisme, enquêtes EFH,EFHPA et EFAHCT.
Prime de croissance pour les hôtels classés, en particulier les 4 et 5 étoiles
* Taux d’occupation : rapport du nombre de chambres (ou d ’emplacements ou d’unités d’hébergements) occupées au nombre de chambres (ou d’emplacements ou d’unités d’hébergements) effectivement offertes sur une période donnée (c’est-à-dire en excluant les fermetures saisonnières). Champ : hôtels situés en France métropolitaine.
Sources : Insee en partenariat avec la DGE et les comités régionaux et départementaux du tourisme, enquêtes EFH et EFHPA ; Atout France.
Ecart de plus de 10 points entre TO d’hôtels de chaînes et d’hôtels indépendants
Sources : Inse séries longues Tourisme France métropolitaine – Tableau HR-infos. (*) Certains de ces hôtels peuvent être non classés. En rouge : les taux d’occupation en recul par rapport à l’année précédente
Ce simple tableau, extrait des séries longues de l’Insee, est riche d’enseignements. On se limitera ici à observer que les 101 393 chambres offertes en 2017 par les hôtels de chaînes ont produit davantage de nuitées (106,3 millions) que les 113 770 chambres des hôtels indépendants (103,6 millions). Cette bipolarisation du secteur et ce pourcentage élevé d’hôtels et de chambres de chaînes, qui produisent désormais depuis 2015 une (petite) majorité de nuitées, malgré leur moindre proportion d’établissements et de clefs, sont l’une des singularités de l’industrie hôtelière française.