Dans la 40 ème édition de son étude annuelle "L'Industrie Hôtelière Française", KPMG propose un bilan économique et financier détaillé de l'activité 2016 des hôtels et des résidences hôtelières urbaines et brosse les premières tendances de l'exercice 2017.
Mais la partie la plus exclusive de cette étude de référence réside dans ses focus. En particulier celui sur la fonciarisation hôtelière comme outil de valorisation à la fois des murs et des fonds de commerce. Deux autres focus prospectifs se concentrent sur le modèle émergent des hôtels dits "lifestyle"et sur la diversification de l'offre ultraluxe.
L'étude KPMG vaut aussi pour le volet consacré aux performances commerciales des hôtels depuis cinq exercices (2012 à 2016), ainsi qu'au chiffre d'affaires et à la structure de leurs ventes, en n'oubliant pas leurs coûts et leurs résultats d'exploitation.
Force est de constater que si les marges opérationnelles restent relativement élevées (elles doivent l'être pour supporter ensuite loyers, frais de gestion, amortissements et autres frais financiers), elles ont malgré tout subi un coup de rabot en 2016.
HR-infos a interrogé Stéphane Botz, responsable du secteur Tourisme Hôtellerie Loisirs chez KPMG, sur l'évolution de l'offre hôtelière."