4/5 juin-Paris, Food Hotel Tech et les solutions digitales montent en puissance

Avec l’expérience encourageante de sa première édition et un changement de calendrier présumé avantageux, la deuxième édition du salon Food Hotel Tech espère augmenter son affluence (4 000 visiteurs s’étaient déplacés en 2017) et multiplier les retours d’expérience positifs pour les visiteurs comme pour les exposants.

Le premier salon dédié aux solutions digitales pour les Hôtels, Cafés et Restaurants, et le seul encore à ce jour dans la branche, se déroule cette cette fois début juin (et non plus fin novembre, créneau occupé par EquipHotel). Et toujours sur deux jours : le lundi 4 juin de 10 h à 22 h, (nocturne donc cette année) et le mardi 5 avril de 10 h à 19 h.

Le lieu d’accueil reste quant à lui inchangé, le hall A de Paris Event Center (4 250 m2), à deux pas de la porte de la Villette.

Karen Serfaty, la fondatrice et directrice générale du salon, a renforcé les temps forts de ce salon à taille humaine, convivial et facilitateur d’échanges.

Au programme du FHT 2018, un nouveau rendez-vous : les Ateliers, douze au total, six réservés aux restaurateurs, six aux hôteliers, accueillant jusqu’à 30 participants chacun (réservation obligatoire). Animés par des formateurs professionnels, les Ateliers FHT ambitionnent de dispenser en 45 minutes l’essentiel des bonnes pratiques qu’il faut maîtriser dans les multiples domaines de la « transformation digitale » : soigner son e-reputation, s’appuyer sur les réseaux sociaux, passer au e-recrutement, manager avec des outils digitaux, etc.

Rendez-vous peu courant sur les salons et à l’honneur sur Food Hotel Tec, le Speakers’Corner. Très fréquenté lui aussi en 2017, il occupera cette année une place centrale, au carrefour des allées. Speaker’s Corner offre l’opportunité à chaque exposant de présenter son innovation en 10 minutes chrono.

Elles avaient fait salle pleine en 2017. Une vingtaine de conférences sont programmées cette année, sur des sujets pointus et d’actualité : blockchain, intelligence Artificielle, chatBots, les e-chefs, systèmes de paiement de demain, imprimante 3D… CHD expert s’exprimera également sur les perspectives de croissance (et les freins) pour le digital dans l’Hébergement Restauration.

Enfin, décernés le mardi 5 juin, les FHT Awards mettront en lice 10 start-up sélectionnés sur dossier. Elles disposeront de 5 minutes chacune pour convaincre les visiteurs et un jury de professionnels qu’elles sont les plus aptes à répondre aux attentes et besoins du professionnel hôtelier et restaurateur. FHT Hotel Award et le FHT Food Award récompenseront les deux meilleures innovations.

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Avec l'expérience encourageante de sa première édition et un changement de calendrier présumé avantageux, la deuxième édition du salon Food Hotel Tech espère augmenter son affluence (4 000 visiteurs s'étaient déplacés en 2017) et multiplier les retours d'expérience positifs pour les visiteurs comme pour les exposants.

Le premier salon dédié aux solutions digitales pour les Hôtels, Cafés et Restaurants, et le seul encore à ce jour dans la branche, se déroule cette cette fois début juin (et non plus fin novembre, créneau occupé par EquipHotel). Et toujours sur deux jours : le lundi 4 juin de 10 h à 22 h, (nocturne donc cette année) et le mardi 5 avril de 10 h à 19 h.

Le lieu d'accueil reste quant à lui inchangé, le hall A de Paris Event Center (4 250 m2), à deux pas de la porte de la Villette.

Karen Serfaty, la fondatrice et directrice générale du salon, a renforcé les temps forts de ce salon à taille humaine, convivial et facilitateur d'échanges.

Au programme du FHT 2018, un nouveau rendez-vous : les Ateliers, douze au total, six réservés aux restaurateurs, six aux hôteliers, accueillant jusqu'à 30 participants chacun (réservation obligatoire). Animés par des formateurs professionnels, les Ateliers FHT ambitionnent de dispenser en 45 minutes l'essentiel des bonnes pratiques qu'il faut maîtriser dans les multiples domaines de la "transformation digitale" : soigner son e-reputation, s'appuyer sur les réseaux sociaux, passer au e-recrutement, manager avec des outils digitaux, etc.

Rendez-vous peu courant sur les salons et à l'honneur sur Food Hotel Tec, le Speakers'Corner. Très fréquenté lui aussi en 2017, il occupera cette année une place centrale, au carrefour des allées. Speaker's Corner offre l'opportunité à chaque exposant de présenter son innovation en 10 minutes chrono.

Elles avaient fait salle pleine en 2017. Une vingtaine de conférences sont programmées cette année, sur des sujets pointus et d'actualité : blockchain, intelligence Artificielle, chatBots, les e-chefs, systèmes de paiement de demain, imprimante 3D... CHD expert s'exprimera également sur les perspectives de croissance (et les freins) pour le digital dans l'Hébergement Restauration.

Enfin, décernés le mardi 5 juin, les FHT Awards mettront en lice 10 start-up sélectionnés sur dossier. Elles disposeront de 5 minutes chacune pour convaincre les visiteurs et un jury de professionnels qu'elles sont les plus aptes à répondre aux attentes et besoins du professionnel hôtelier et restaurateur. FHT Hotel Award et le FHT Food Award récompenseront les deux meilleures innovations. "
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Nouveaux services
L'édition 2017 avait accueilli 4 000 visiteurs. Entrée gratuite pour ceux qui auront été invités par des exposants. Les autres s’acquitteront de 30 euros.

Nouveauté 2018  : les 12 ateliers Tech (sur réservation, limités à 30 places)

La liste des 150 exposants

Le thème des 22 conférences

Les 10 start-up nominés pour les Awards 2018

Réuni le mardi 22 mai, le jury d’experts a retenu 10 nominés parmi 33 dossiers de candidatures.
Dans la catégorie FHT Food Award#2018 récompensant la start-up qui présente la solution digitale ou technologique la plus innovante en réponse aux attentes et besoins des restaurateurs :

  • HYGIENE EXPERT : applis et solutions cloud pour la gestion et le suivi de l’hygiène professionnelle
  • EASILYS : digitalisation à la carte de toute la gestion du restauration (commandes, stocks, factures, production, menus, planing équipe…)
  • BILLEE : solution de paiement smartphone intégrée
  • I’M OK RESTAURANT : suite logiciel pour la gestion prédictive de votre espace
  • D-VINE : gestion de dégustation de vins grands crus

Dans la catégorie FHT Hotel Award#2018 qui récompense la start-up qui présente la solution la plus innovante en réponse aux attentes et besoins des hôteliers:

  • TABHOTEL : logiciel d’affichage et de self check-in intelligent et connecté sur le PMS, le contrôle d’accès et le paiement
  • MINUTUP : première application mobile de réservation de services hôteliers à la minute
  • KUANTOM : solution clé en main qui revisite et automatise la réalisation de cocktails
  • BOWO : appli et tablette design offrant un bouquet de services générateur de CA additionnels
  • MY LOCAL PHONE : smartphones en chambres proposant une multitude de services : borne WiFi nomade privée et très haut débit, Video On Demand projetable sur la télévision, e-conciergerie…
Vidéo bilan de l’édition 2017, la première du salon

Le champ des possibles de la digitalisation selon CHD Expert

L’étude CHD Expert le confirme, le digital est encore loin, très loin d’être un marché mature dans la Restauration Hors Domicile. Marché qui représente moins de 280 millions d’euros aujourd’hui. Et pourtant, les applications potentielles à terme sont considérables… En voici un aperçu, selon CHDExpert.

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Nouveaux services

Louvre Hotels introduit Alipay et WeChat Pay dans l'hôtellerie européenne

Author la Rédaction HR-infosPosted on

Après avoir introduit UnionPay fin 2016, Louvre Hotels récidive en étant également le premier groupe hôtelier européen à accepter deux autres plateformes de paiement chinoises, Alipay et son concurrent WeChat Pay, qui totalisent ensemble 750 millions d’utilisateurs.

En rendant possible le paiement via Alipay et Wechat Pay, la filiale européenne du groupe Jin Jiang International Holdings (5 ème groupe hôtelier mondial) poursuit sa stratégie d’adaptation aux besoins et aux attentes de la clientèle chinoise. Une stratégie sans doute gagnante car Louvre a été le seul groupe hôtelier en France, affirme-t-il, à constater dans ses établissements une hausse de la fréquentation des visiteurs chinois en 2016.

Portefeuille électronique de plus de 300 millions de chinois, Wechat Pay est issu du premier réseau social chinois Wechat, qui compte près de 800 millions d’utilisateurs. 550 milliards de dollars transitent via cette plateforme de paiement, utilisé par un Chinois sur deux.

Quant à Alipay, la plateforme de paiement du groupe de commerce en ligne Alilbaba, elle dénombre plus de 450 millions d’utilisateurs actifs générant plus de 100 millions de dollars de transactions quotidiennes.

Louvre Hotels Group, accompagné par son partenaire Adyen, société technologique spécialiste des modes de paiement, a prévu une phase pilote dans deux hôtels Campanile parisiens. Le dispositif sera étendu à l’ensemble des établissements européens du groupe.

Rappelons que depuis novembre 2016, Louvre Hotels Group s’ouvre progressivement au réseau bancaire chinois UnionPay (5,4 milliards de cartes bancaires en circulaires), comblant ainsi en partie le retard de l’industrie hôtelière française. Ses 250 hôtels filiales devraient être tous équipés d’ici fin 2017. Viendra ensuite le tour, s’ils souhaitent y souscrire, des quelque 1 000 hôtels franchisés et managés. »

Nouveaux services

Donner à écouter le son de sa carte pour ses clients déficients visuels

Author la Rédaction HR-infosPosted on

1,7 million de personnes souffrent de déficience visuelle en France, selon une enquête de l’Insee et du ministère de la Santé. Pour mieux les accueillir dans les ERP (Etablissements Recevant du Public), comme l’exige la loi Accessibilité de février 2005 en vigueur depuis le 1er janvier 2015, il faut aussi veiller à ce qu’ils comprennent sans difficultés les cartes des restaurants.

L’approche la plus naturelle serait de prendre le temps de présenter la carte à ses hôtes. Mais cela n’est pas toujours possible dans les faits, en raison de l’exigence de rapidité du service. Des solutions techniques doivent donc être envisagées.

Pour les déficiences visuelles modérées, une carte rédigée en gros caractères (corps 18) dans une police « bâton » (type Arial, Verdana ou Calibri) peut suffire, avec des interlignages larges et des photos descriptives.

Pour les déficiences profondes, on peut mettre à disposition une carte en braille. Cette prestation est notamment proposée par le Centre de Transcription et d’Edition en Braille (CTEB), basé à Toulouse (lire notre article). Mais ces cartes présentent deux limites : leur coût (la fabrication d’un seul menu en braille coûte entre 30 et 50 euros) et leur utilisation limitée aux personnes maîtrisant la lecture en braille (de 10 à 15 % de la population totale des non voyants).

Une autre solution a vu le jour fin 2016 : « La Carte sonore ». L’initiative en revient à la
Jeune Chambre Economique Française (JCEF), avec le soutien de son partenaire, le groupe mutualiste Macif.

Le principe de la Carte sonore est simple. Le restaurateur enregistre son menu sur un dictaphone fourni par la JCEF. Lors du service, il remet ce dictaphone allumé à son convive qui appuiera sur la touche lecture (une touche en relief perle) pour écouter la description du menu.

« Le projet est né à la Jeune Chambre Economique (JCE) de Saint-Omer (Pas-de-Calais) suite à une conversation avec un restaurateur qui souhaitait répondre à une problématique d’accès pour les déficients visuels, explique la Macif. Le projet a été monté en associant des aveugles qui ont pu choisir la solution la plus efficiente pour leurs besoins. » Ce restaurateur avait envisagé au départ de proposer un menu en braille, mais il en a été dissuadé par les coûts d’impression.

Le restaurateur et la JCE ont donc choisi la solution du dictaphone, qu’ils ont jugé moins onéreux et d’une utilisation simple et large, tant pour le professionnel que pour ses clients, explique la Macif. Ce petit appareil permet de changer la carte au gré des saisons et de l’inspiration du chef. Il sera également utile aux personnes âgées qui perdent l’acuité visuelle, aux handicapés mentaux, les dyslexiques, les analphabètes.

Objectif de la JCEF et du groupe Macif : équiper d’un kit « Carte sonore » au moins 1 000 restaurants d’ici fin 2017.
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L'édition 2017 avait accueilli 4 000 visiteurs. Entrée gratuite pour ceux qui auront été invités par des exposants. Les autres s’acquitteront de 30 euros.