Conviction forte du président du club TVA, qui regroupe des chaînes d’hôtels et de restaurants, la réussite du taux réduit pour la restauration à table va d’abord reposer sur une baisse des prix, la seule capable de générer des ventes supplémentaires, et donc des embauches. Quant à la nature ce taux ((5,5 , 8, 10, 12 ?), il sera fonction des contreparties consenties par les restaurateurs. Et des marges de manoeuvre budgétaires de l’Etat. Qui se réduisent, avec l’aggravation des déficits publics. D’où la nécessité de mettre à plat durant les états généraux de la restauration le coût exact de ces différents scénarios de taux.
Interview : Solenne le Hen
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