L'Institut Paul Bocuse va doubler de taille pour accueillir 2000 étudiants

30 ans après sa création, L’Institut Paul Bocuse va bénéficier d’une grande rénovation et d’une importante extension. Le 8 octobre dernier, le maire de Lyon, Gérard Collomb, a officiellement posé la première pierre d’un ambitieux projet immobilier d’un coût évalué à 25 millions d’euros. Ou plutôt planté un arbre ! En l’occurence un ginkgo biloba, devant le château de la Roseraie.

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Objectif du programme : doubler la capacité d’accueil d’un établissement qui forme des étudiants de 56 nationalités différentes dans les métiers de l’hôtellerie et de la restauration de Bac + 3 à Bac + 5. L’institut passerait de 1 000 étudiants actuellement, dont 40 % d’étrangers, à 2000 à partir de 2021-2022.

Historiquement installé à Ecully (métropole de Lyon) dans le château du Vivier, datant du 19 ème, l’institut va s’adjoindre un autre bâtiment proche, le domaine de la Roseraie, accessible à pied en traversant un parc.

Le bâtiment, qui hébergeait auparavant un centre pour personnes handicapées, sera reconfiguré et doté de deux ailes modernes, abritant 22 salles de cours, un amphithéâtre, un restaurant, un incubateur et un espace de coworking. L’accueil de l’institut y sera installé.

La Roseraie sera spécialisé dans l’enseignement de la gestion en hôtellerie-restauration, alors que le siège historique du Vivier se spécialisera dans l’enseignement de la cuisine.

Le budget sera apporté à hauteur de 6 millions d’euros par la fondation de Gérard Pélisson, le co-fondateur du groupe hôtelier Accor et sauveur de l’école lorsque celle-ci rencontrait des difficultés à la fin des années 1990.

La région Auvergne Rhône-Alpes et la Métropole de Lyon apporteront 4,5 millions d’euros. Tandis que l’institut va s’endetter à hauteur de 10 millions d’euros. Le financement est bouclé par un appel au mécénat d’entreprises et de particuliers, piloté par la fondation G&G Pélisson (Gérard et Gilles Pélisson).

L’institut, dont la gestion est assurée par une association à but non lucratif, a vu l’été dernier ses formations Bac +3 et Bac + 4 reconnues par l’Etat. « L’étape d’après », selon M. Giraudier, sera d’obtenir des accréditations internationales, comme celles qui permettent de jauger de la qualité de l’enseignement des écoles de commerce. (avec l’AFP). »

30 ans après sa création, L'Institut Paul Bocuse va bénéficier d'une grande rénovation et d'une importante extension. Le 8 octobre dernier, le maire de Lyon, Gérard Collomb, a officiellement posé la première pierre d'un ambitieux projet immobilier d'un coût évalué à 25 millions d'euros. Ou plutôt planté un arbre ! En l'occurence un ginkgo biloba, devant le château de la Roseraie.
br> Objectif du programme : doubler la capacité d'accueil d'un établissement qui forme des étudiants de 56 nationalités différentes dans les métiers de l’hôtellerie et de la restauration de Bac + 3 à Bac + 5. L’institut passerait de 1 000 étudiants actuellement, dont 40 % d'étrangers, à 2000 à partir de 2021-2022.

Historiquement installé à Ecully (métropole de Lyon) dans le château du Vivier, datant du 19 ème, l'institut va s'adjoindre un autre bâtiment proche, le domaine de la Roseraie, accessible à pied en traversant un parc.

Le bâtiment, qui hébergeait auparavant un centre pour personnes handicapées, sera reconfiguré et doté de deux ailes modernes, abritant 22 salles de cours, un amphithéâtre, un restaurant, un incubateur et un espace de coworking. L'accueil de l'institut y sera installé.

La Roseraie sera spécialisé dans l'enseignement de la gestion en hôtellerie-restauration, alors que le siège historique du Vivier se spécialisera dans l'enseignement de la cuisine.

Le budget sera apporté à hauteur de 6 millions d'euros par la fondation de Gérard Pélisson, le co-fondateur du groupe hôtelier Accor et sauveur de l'école lorsque celle-ci rencontrait des difficultés à la fin des années 1990.

La région Auvergne Rhône-Alpes et la Métropole de Lyon apporteront 4,5 millions d'euros. Tandis que l'institut va s'endetter à hauteur de 10 millions d'euros. Le financement est bouclé par un appel au mécénat d'entreprises et de particuliers, piloté par la fondation G&G Pélisson (Gérard et Gilles Pélisson).

L'institut, dont la gestion est assurée par une association à but non lucratif, a vu l'été dernier ses formations Bac +3 et Bac + 4 reconnues par l'Etat. "L'étape d'après", selon M. Giraudier, sera d'obtenir des accréditations internationales, comme celles qui permettent de jauger de la qualité de l'enseignement des écoles de commerce. (avec l'AFP)."
Deux phases prévues : la rénovation du château de la Roseraie puis la rénovation pédagogique du château du Vivier. La Roseraie sera encadrée par deux nouveaux bâtiments . Budget global : 25 millions d’euros.

Dominique Giraudier, directeur général de l’Institut Paul Bocuse

« Nous avons trois demandes pour une place. Les métiers auxquels nous nous consacrons sont en pleine croissance et il y a une demande très importante de compétences.
L’institut planifie une croissance forte, sans perdre son âme, car nous revendiquons notre identité française. »

Le site internet de l’Institut Paul Bocuse 

Le château de la Roseraie (1860) sera rénové et encadré de deux nouveaux bâtiments


Sur l’espace de 17 000 mètres carrés appartenant à l’Institut à Ecully,  un nouveau bâtiment verra le jour qui sera dédié aux arts culinaires avec 17 laboratoires de cuisine-pâtisserie, chocolaterie et boulangerie,  « à la pointe des dernières technologies ».
Sortira également de terre un « nouvel espace de créativité dédié à l’innovation et la recherche, à l’événementiel et à la création de concepts hôteliers. »
Enfin, le dernier pôle dédié au management de l’hôtellerie et restauration sera doté d’un amphithéâtre de 250 places, d’un incubateur ainsi que d’espaces de coworking dédiés aux entrepreneurs.
Parallèlement, l’Institut Paul Bocuse annonce le développement de ses partenariats à l’international avec l’ouverture d’un campus en Russie.

 

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