Léon de Bruxelles valorise son exercice 2016 malgré Paris

Le spécialiste des moules frites fraîches a augmenté l’an dernier son chiffre d’affaires consolidé sous enseigne de + 2,62 %, à 129,7 millions d’euros TTC. A périmètre constant, sa progression est de +0,71 %. La marque a fait mieux qu’en 2015, ses ventes avaient alors baissé de 0,5 % (davantage encore à périmètre constant). Un exercice il est vrai fortement impacté par les attentats de janvier et novembre 2015, conduisant de nombreux consommateurs parisiens et franciliens à restreindre leurs sorties au restaurant.

L’activité de Léon de Bruxelles sur la région Paris-Ile-de-France, où l’enseigne compte dix restaurants sur les quatre vingt de son réseau, ont malgré tout été encore affectée en 2016. A périmètre constat, les ventes sur la région ont en effet reculé de 11 %. Ses trois gros porteurs des Champs-Elysées, de l’Opéra et de Saint-Germain des Près pèsent à eux-seuls pour 78 % de cette chute. Hors Paris, le chiffre d’affaires à réseau constant a progressé de +4,3 %.

Pour la direction de Léon, cet exercice 2016 est est positif car il traduit une reprise de la fréquentation et une progression du ticket moyen (qui se situe autour de 22,50 EUR) malgré les effets post-attentats sur la capitale.

Laurent Gillard, président du Directoire du groupe Léon de Bruxelles, commente ainsi ces résultats : « Nous avons été touché de plein fouet par le climat de peur qui s’est répandu après les
attaques du 13 novembre 2015, en particulier pou nos restaurants parisiens et en région parisienne, et le climat 2016 ne s’annonçait pas sous les meilleurs auspices. Notre campagne de communication massive autour de notre nouvelle identité de marque,de notre savoir-faire, du frais et les initiatives comme le lancement de la VAE ont porté leurs fruits et nous finissons l’année avec un CA en hausse de 4,3% hors Paris pour l’enseigne Léon de Bruxelles ».

Le développement de l’enseigne en 2016 s’est traduit par l’ouverture de quatre restaurants (Pau, Thionville, Chalon en Champagne et Paris 19 ème) et par le lancement à grande échelle d’une formule « Léon Box » à emporter chez soi ou au bureau. Préparée à la commande et prête en 15min, la box de Léon, avec ses cocottes de moules et ses frites fraîches assorties d’une gaufre et/ou d’une boisson (facturée 15 ou 16,50 EUR), a conclu plus de 70 000 clients et dégagé des recettes équivalentes à celles d’un restaurant.

Léon de Bruxelles a globalement retravaillé son offre. L’enseigne se prévaut d’être devenue la première chaîne de restauration à proposer une frite de gamme fraîche d’origine française et belge. Sa carte intègre de nouvelles spécialités comme le fish & frites à base d’églefins (6 % des ventes déjà), ou une sélection de viandes ou des planches à partager.

2016 a également été marquée par l’inauguration d’un 2ème établissement Léon de B., l’enseigne de
Fast Good belge lancé par le groupe à Lyon en 2015. Ce site vitrine à Paris 19ème, avec cuisine ouverte
et design contemporain, attire une clientèle de jeunes urbains. Parmi ses best-sellers, le Burger Fish frais ou le brunch gourmand. »

Le spécialiste des moules frites fraîches a augmenté l'an dernier son chiffre d'affaires consolidé sous enseigne de + 2,62 %, à 129,7 millions d'euros TTC. A périmètre constant, sa progression est de +0,71 %. La marque a fait mieux qu'en 2015, ses ventes avaient alors baissé de 0,5 % (davantage encore à périmètre constant). Un exercice il est vrai fortement impacté par les attentats de janvier et novembre 2015, conduisant de nombreux consommateurs parisiens et franciliens à restreindre leurs sorties au restaurant.

L'activité de Léon de Bruxelles sur la région Paris-Ile-de-France, où l'enseigne compte dix restaurants sur les quatre vingt de son réseau, ont malgré tout été encore affectée en 2016. A périmètre constat, les ventes sur la région ont en effet reculé de 11 %. Ses trois gros porteurs des Champs-Elysées, de l'Opéra et de Saint-Germain des Près pèsent à eux-seuls pour 78 % de cette chute. Hors Paris, le chiffre d'affaires à réseau constant a progressé de +4,3 %.

Pour la direction de Léon, cet exercice 2016 est est positif car il traduit une reprise de la fréquentation et une progression du ticket moyen (qui se situe autour de 22,50 EUR) malgré les effets post-attentats sur la capitale.

Laurent Gillard, président du Directoire du groupe Léon de Bruxelles, commente ainsi ces résultats : « Nous avons été touché de plein fouet par le climat de peur qui s’est répandu après les attaques du 13 novembre 2015, en particulier pou nos restaurants parisiens et en région parisienne, et le climat 2016 ne s’annonçait pas sous les meilleurs auspices. Notre campagne de communication massive autour de notre nouvelle identité de marque,de notre savoir-faire, du frais et les initiatives comme le lancement de la VAE ont porté leurs fruits et nous finissons l’année avec un CA en hausse de 4,3% hors Paris pour l’enseigne Léon de Bruxelles ».

Le développement de l'enseigne en 2016 s'est traduit par l'ouverture de quatre restaurants (Pau, Thionville, Chalon en Champagne et Paris 19 ème) et par le lancement à grande échelle d'une formule « Léon Box » à emporter chez soi ou au bureau. Préparée à la commande et prête en 15min, la box de Léon, avec ses cocottes de moules et ses frites fraîches assorties d'une gaufre et/ou d'une boisson (facturée 15 ou 16,50 EUR), a conclu plus de 70 000 clients et dégagé des recettes équivalentes à celles d'un restaurant.

Léon de Bruxelles a globalement retravaillé son offre. L'enseigne se prévaut d'être devenue la première chaîne de restauration à proposer une frite de gamme fraîche d'origine française et belge. Sa carte intègre de nouvelles spécialités comme le fish & frites à base d'églefins (6 % des ventes déjà), ou une sélection de viandes ou des planches à partager.

2016 a également été marquée par l’inauguration d’un 2ème établissement Léon de B., l’enseigne de Fast Good belge lancé par le groupe à Lyon en 2015. Ce site vitrine à Paris 19ème, avec cuisine ouverte et design contemporain, attire une clientèle de jeunes urbains. Parmi ses best-sellers, le Burger Fish frais ou le brunch gourmand."
Le nouveau décor de la salle à manger du Léon de Bruxelles de Châlons-en-Champagne-Fagnières le premier à adopter ses nouveaux codes de brasserie moderne. Son nouveau design fait la part belle aux matériaux nobles avec des tables et boiseries en bois massif ou encore un véritable carrelage « métro ». La cuisine s’ouvre désormais sur la salle et une attention toute particulière est apportée au confort tout comme à la variété des assises et de l’éclairage.
Faits et chiffres clefs sur Léon de Bruxelles
  • 80  restaurants dont 78 restaurants Léon de Bruxelles (2 en franchise) et 2 Léon de B
  • 44 restaurants ces 10 dernières années dont deux Léon de B
  • 70 000 Léon Box vendues en 2016 année de lancement
  • 5,8  millions de clients (+3,1% hors de Paris)
  • 1989 : année d’ouverture du premier resto français, place de la République à Paris
  • 2013 : ouverture du premier Léon de B à Lyon (notre reportage)
  • 1 500 salariés
  • 129,7 millions d’euros TTC de volume d’affaires sous enseigne en 2016 (+ 2,6 % par rapport à 2015)
  • 24 ème rang de la restauration commerciale française (source BRA)
  • actionnaires majoritaires : Eurazeo PME et Cerea Capital
  • président du Directoire Laurent Gillard
  • président du Conseil de Surveillance Michel Morin
  • 1 200 tonnes de frites fraîches / an
  • 3 500 tonnes de moules fraîches / an
A revoir : reportage dans le premier Léon de B parisien


Léon de B par Léon de Bruxelles, ou comment faire du neuf quand on est ancien ! Laurent Gillard, le patron du groupe, nous fait découvrir la nouvelle adresse parisienne et explique le positionnement et la stratégie d’implantation de deux enseignes fausses jumelles.

La carte de léon de B.

ffeb6d3c948c2c0978ab29df0b2ee184.clandscape_l_hd

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.

A lire dans la même rubrique

Le nouveau décor de la salle à manger du Léon de Bruxelles de Châlons-en-Champagne-Fagnières le premier à adopter ses nouveaux codes de brasserie moderne. Son nouveau design fait la part belle aux matériaux nobles avec des tables et boiseries en bois massif ou encore un véritable carrelage « métro ». La cuisine s’ouvre désormais sur la salle et une attention toute particulière est apportée au confort tout comme à la variété des assises et de l’éclairage.